PlayDate : la console portable… dotée d’une manivelle de jeu

Panic annonce sa PlayDate

Le studio Panic annonce l’arrivée d’une toute nouvelle console portable : PlayDate. Une machine qui fleure bon le #retro, avec ses faux airs de Nintendo GameBoy. La console dispose ainsi d’un écran de 2,7″, capable d’afficher une image… en 400 x 240 pixels !

Un écran monochrome qui plus est, et sans le moindre système de rétroéclairage. La console mise au point par Panic disposera également d’une croix directionnelle, ainsi que de deux boutons A et B. A cela s’ajoute… une manivelle ! En effet, sur le côté droit, PlayDate disposera d’une petite manivelle, qui ne permettra pas de recharger la batterie de la machine, mais bien de jouer.

Playdate

Ainsi, les développeurs pourront laisser libre cours à leur imagination, et mettre au point des concepts de gameplay mettant à profiter cette manivelle. Bien sûr, ces derniers peuvent tout à fait se focaliser uniquement sur un système de contrôle classique, et mettre de côté la manivelle. Le but pour Panic est toutefois de surprendre les joueurs, avec différents types de gameplay forcément novateurs.

Playdate

Du full démat’… et un prix salé

Côté jeux, pas de port cartouche ici, mais une console PlayDate qui fait le choix du jeu au format dématérialisé. Pas de store toutefois, puisque tout reposera sur un système de pass saisonnier, avec une douzaine de jeux à télécharger pour chaque pass, à raison d’un titre par semaine. Les jeux seront à télécharger via WiFi, et une petite LED en façade avertira le joueur de la présence d’un nouveau titre.

Playdate

A l’heure actuelle, le concept PlayDate a de quoi séduire, de par son côté « GameBoy » notamment et cette surprenante manivelle, mais la machine sera proposée à un tarif qui risque de freiner plus d’un joueur… Si la disponibilité de la machine est calée au début de l’année 2020, sans plus de précision, le prix a pour sa part été officialisée, et il faudra donc débourser 149 dollars pour s’offrir cette PlayDate. « Quand même !« , comme dirait un certain Manuel…