Action !
Alors que la sortie du prochaine opus de Gear of War est imminente – le 11 octobre sur Xbox One – Universal Pictures travaille sur l’adaptation au cinéma de la série vidéoludique à succès. On commence à en avoir l’habitude dès qu’une franchise vidéoludique a du succès, en faire un film devient obligatoire. Si les adaptations sont nombreuses, beaucoup sont de piètre qualité et finissent par faire du tort au jeu en question. On oubliera ainsi Max Payne, Hitman ou encore Street Fighter qui nous ont fait pleurer des larmes des sang. Mais dernièrement, Warcraft, ou encore Prince of Persia, ont réussi le pari risqué de réunir les gamers et le grand public dans les salles de cinéma.
Pas de précision sur le scénario…
Un pari que s’apprête à réaliser Rod Fergusson, à la tête du studio The Coalition qui racheté les droits de la franchise Gears of War et développe Gears of War 4. Selon lui, le film est « la prochaine étape logique » pour enrichir le contenu de la franchise. « Nous avons déjà réaliser des comics et des romans dans le passé, mais la perspective de travailler avec Universal pour donner vie au film était parfaite. »
Pour rappel, le premier Gears of War narrait l’histoire de Marcus Fenix et sa bande de gros bras contre les Locust : une race d’alien pas très amicale qui vivait dans les entrailles de la terre et qui était plutôt déterminée à exterminer la race humaine. On ne sait pas encore si le film reprend l’histoire du premier volet, fait le lien entre Gears of War 3 et Gears of War 4, ou raconte une toute nouvelle histoire.
Ferguson nous promet quand même un travail de qualité : « Il faut laisser le film être un film » et que les jeux video et les films sont « deux supports différents, pour deux audiences distinctes dans tous les cas, et je pense que certaines adaptation de jeux vidéo sur grand écran ont échoué parce qu’ils cherchaient trop à faire un film pour les gamers ».
Ce n’est pas la première fois qu’un film Gears of War est évoqué et le projet semble enfin en passe de voir la lumière. Espérons que le film respecte ses ambitions et ne tombe pas dans le fan-service pur et dur.
par Geoffroy Claude.