Un préservatif bio, plus fin et plus résistant
En Australie, certains chercheurs sont occupés à mettre au point un nouveau préservatif, dont la finesse serait équivalente à celle d’un cheveu, et bio, de surcroît (le préservatif hein, pas le cheveu). Un nouveau préservatif absolument révolutionnaire donc, élaboré principalement à partir de nano-cellulose, que l’on retrouve dans le spiniflex, une plante très répandue dans les régions semi-désertiques, et particulièrement présente en Australie.
Associée à du latex, la nano-cellulose profiterait alors de sa résistance et de sa souplesse, pour permettre aux chercheurs de mettre au point un préservatif plus fin que ceux proposés actuellement, tout en étant également plus résistants. Ces derniers disposeraient d’un risque de rupture quasiment nul. Les scientifiques de l’Université du Queensland évoquent ainsi une finesse divisée par deux, pour des sensations plus réelles que jamais. Un préservatif plus fin, plus résistant et (presque) bio donc.
Rappelons que le spiniflex est employé depuis plusieurs centaines d’années par les aborigènes d’Australie, non pas pour la fabrication de préservatifs, mais pour divers objets. Un accord aurait été passé avec ces mêmes aborigènes, qui devraient toucher une compensation financière lors de la mise en vente de ce préservatif bio-révolutionnaire. C’est beau le progrès !