#Rétrogaming : tu te souviens… Ferrari Grand Prix Challenge sur NES

A l’ère de la 4K, du ray-tracing et des 60 (ou 120) fps, il est bon de se replonger dans nos jeux vidéo d’antan, ceux que l’on prend plaisir encore aujourd’hui à lancer sur NES, sur Master System, sur Super Nintendo, PC Engine ou encore sur un bon vieil ordinateur de l’époque. Un petit coup d’oeil dans le rétro(gaming), comme un petit voyage vidéoludique dans un passé lointain. Une chronique animée par Turk182, que l’on vous invite chaudement à découvrir sur son excellent « Rétroblog« .

Salut les vieux ! Lorsque je n’étais encore qu’un adolescent j’ai fait comme tout le monde, j’ai regardé le film D.A.R.Y.L. Et si comme moi vous avez vu le film, vous aurez sans doute remarqué la scène où il joue à un jeu de course de voiture qui n’était autre que Pole Position d’Atari.

La Pole Position pour Ferrari !

Du coup, ben j’avais acheté ce jeu pour mon Commodore 64 et j’en ai toujours été très fans, je l’ai toujours défendu à mort, jusqu’au jour où mon amis Bulbe, qui était pourtant passé du Spectrum au Commodore 64, s’acheta une NES et m’invita chez lui pour me démontrer qu’il y avait mieux que Pole Position, le challenger en question n’était autre qu’un certain Ferrari Grand Prix Challenge.

Une fois le frigo vidé et quelques chips versées dans un bol, nous rejoignions sa chambre pour voir la bête. En effet, dès les premières minutes, ce Ferrari Grand Prix Challenge me plut énormément. Une prise en main facile, une conduite très souple, j’ai adoré.

Il y a une chose de vraiment très bien dans ce jeu, c’est qu’à chaque check point vous êtes obligé d’être dans la position imposée. Dans les premiers tours c’est dans les 20 premiers puis ça diminue petit à petit, si vous êtes derrière la position demandée, la course s’arrête pour vous et c’est le terrible Game Over.

Un autre petit détail sympa, c’est que les voitures se doublent assez facilement sauf les 3 premières qui sont en tête, elles sont très difficiles à atteindre et deux fois plus difficiles à doubler. Cela donne un petit challenge encore plus sympa au jeu.

Ce jour-là, sa mère dû une fois de plus m’inviter à rentrer gentiment chez moi. Je ne pus évidemment pas jouer à Pole Position car je n’avais plus de Commodore 64 sinon un Amstrad CPC6128 sur lequel ce jeu n’existait pas.